Dysfonction érectile, impuissance : quel traitement ? L’impuissance est une incapacité à avoir ou maintenir une érection suffisante pour permettre une activité sexuelle satisfaisante dans un contexte de pénétration. Elle peut être physiologique ou psychogène. La dysfonction érectile est la conséquence d’un manque de réponse à un traitement médicamenteux ou à une autre pathologie. Il s’agit de troubles de l’érection : troubles psychologiques ou physiologiques. Ces troubles entraînent des dysfonctionnements de l’érection. Ils peuvent survenir à tout âge : de 40 à 80 ans chez l’homme, de 50 à 60 ans chez la femme. La dysfonction érectile est un facteur de risque de maladies cardio-vasculaires. Le traitement de la dysfonction érectile se fait par un traitement médicamenteux et / ou par une intervention chirurgicale. L’impuissance psychogène se définit par une dysfonction érectile liée à un trouble mental qui se manifeste en l’absence de facteurs physiologiques. Elle nécessite une prise en charge psychothérapeutique et/ou psychologique.
La dysfonction érectile est fréquente chez les hommes jeunes et plus âgés. La dysfonction érectile se caractérise par des difficultés à maintenir une érection satisfaisante lors d’une activité sexuelle. L’érection est un mécanisme complexe et le patient ne perçoit pas toujours le trouble érectile comme une cause de dysfonctionnement. Chez l’homme, les causes de dysfonctionnement sont fréquentes : diabète (hypertension artérielle), stress, alcoolisme, tabagisme, infection, chirurgie, etc. Le traitement de la dysfonction érectile consiste à modifier le mode de vie. Le patient doit apprendre à mieux gérer son stress, à mieux manger et à pratiquer une activité physique régulière. Chez l’homme, le médicament peut être utilisé en premier traitement de la dysfonction érectile. Cependant, ce médicament n’est pas indiqué chez les patients dont l’érection est difficile ou absente.
La prise en charge de la dysfonction érectile doit se faire sur le long terme. La dysfonction érectile est un facteur de risque cardio-vasculaire : elle augmente le risque de développer un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. La prise en charge doit être multidisciplinaire. Elle peut être médicamenteuse ou chirurgicale. Une intervention chirurgicale est parfois indiquée pour traiter la dysfonction érectile. Le traitement médicamenteux est prescrit en premier. Celui-ci peut être administré à la dose minimale efficace. Le médecin doit informer le patient des effets secondaires de la prise du médicament. Les effets secondaires sont souvent mineurs et ne nécessitent pas d’arrêt du traitement. La dose initiale du médicament doit être adaptée en fonction de la réponse du patient au traitement. La dysfonction érectile est traitée avec une prise quotidienne de comprimés qui sont à prendre avec de l’eau. Le traitement doit être poursuivi pendant au moins 3 mois ou jusqu’à ce que le patient ait obtenu une érection suffisante pour des relations sexuelles satisfaisantes.
Le traitement médicamenteux de la dysfonction érectile a une efficacité insuffisante ou inadaptée à améliorer la fonction érectile. Il est souvent conseillé de traiter la dysfonction érectile avec des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (PDE5), tels que le tadalafil, le vardénafil ou le sildénafil. La dose recommandée est de 50 mg pris 1 à 2 heures avant l’activité sexuelle. La dose maximale recommandée est de 100 mg. La dose quotidienne maximale est de 100 mg. Le traitement est poursuivi pendant 3 mois ou jusqu’à ce que le patient ait obtenu une érection suffisante pour des relations sexuelles satisfaisantes. En cas d’échec du traitement médicamenteux, il est possible de recourir à des injections intra-caverneuses de sildénafil ou de tadalafil. Cette injection peut être réalisée sous anesthésie locale. Dans ce cas, il est nécessaire de vérifier l’absence de contre-indication à la prise de ce médicament.
Le traitement chirurgical de la dysfonction érectile repose sur la mise en place d’un implant. L’implant pénien est inséré sous anesthésie locale au niveau de la verge et de l’orifice du méat urinaire. Il est nécessaire de réaliser un diagnostic pré-opératoire. Il s’agit de vérifier l’absence de contre-indication à la mise en place d’un implant pénien et de s’assurer de l’absence de contre-indication à la mise en place d’un implant pénien sous anesthésie générale. La pose de l’implant pénien nécessite une anesthésie locale. Le patient doit s’allonger sur le dos et être confortablement installé pendant l’intervention. Il doit être épargné par la prise de boissons alcoolisées avant l’intervention. Le patient ne doit pas prendre d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et doit éviter les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) avant l’intervention. Après l’intervention, le patient est surveillé pendant 4 heures. Après l’intervention, la vessie est fermée avec du fil de suture ou du fil non élastique et l’implant pénien est mis en place en position horizontale. Le patient doit se reposer après l’intervention pendant 2 heures. La pose de l’implant pénien est réalisée sous anesthésie locale. Le patient ne doit pas prendre d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pendant l’intervention et doit éviter les AINS pendant 4 heures. Après l’intervention, le patient doit se reposer pendant 2 heures. Le patient doit attendre au moins 48 heures avant de faire des activités sexuelles. Le patient doit éviter les rapports sexuels pendant 48 heures.
Le traitement chirurgical de la dysfonction érectile repose sur la mise en place d’un implant pénien. L’opération est réalisée sous anesthésie locale et ne nécessite pas d’hospitalisation. Le patient ne doit pas prendre d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et doit éviter les AINS avant l’intervention. Le patient ne doit pas prendre d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pendant l’intervention et doit éviter les AINS pendant 48 heures.
Le traitement médicamenteux de la dysfonction érectile nécessite une prise quotidienne de comprimés qui sont à prendre avec de l’eau. Le patient doit suivre les instructions du médecin relatives à la prise quotidienne. Les comprimés doivent être pris avec de l’eau au moins 1 heure avant l’activité sexuelle. La dose quotidienne recommandée est de 100 mg.
La dysfonction érectile est une pathologie fréquente qui ne doit pas être négligée par le médecin. Il existe de nombreuses causes de dysfonctionnement de l’érection et la prise en charge de cette pathologie doit être multidisciplinaire. Les médicaments sont généralement efficaces dans les premiers temps du traitement. Cependant, ils peuvent avoir un effet indésirable et doivent être arrêtés temporairement avant de passer à un traitement médicamenteux de la dysfonction érectile. La chirurgie est parfois nécessaire chez certains patients. Il existe de nombreuses techniques pour traiter la dysfonction érectile. Le choix de la technique à utiliser dépend du type de dysfonctionnement érectile. Le patient doit comprendre les causes de la dysfonction érectile et être conscient des risques et des avantages de chaque méthode. Le médecin doit s’assurer de la bonne compréhension du patient du traitement et de son efficacité. La dysfonction érectile nécessite une prise en charge multidisciplinaire. La dysfonction érectile peut être traitée avec des médicaments et une intervention chirurgicale. La mise en place d’un implant pénien est parfois nécessaire. Le patient doit être informé des effets secondaires de la prise du médicament et des risques de l’intervention. Le patient doit suivre les instructions du médecin concernant la prise quotidienne des médicaments. Le médecin doit s’assurer que le patient suit bien les instructions du traitement. Le traitement médicamenteux de la dysfonction érectile doit être poursuivi pendant au moins 3 mois ou jusqu’à ce que le patient ait obtenu une érection suffisante pour des relations sexuelles satisfaisantes.
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La dysfonction érectile chez l’homme : comment la traiter ?
La dysfonction érectile est une condition fréquente qui affecte un homme sur cinq. Elle peut être d’origine psychogène, physiologique ou psychosomatique.